Il existe des phénomènes qui sont des emplificateurs ou l’inverse du temps, du son, de la vue (cela veut dire qu’on a des espaces que l’on visionne petit et qui sont immense) au niveau tactile c’est une notion qui est dans l’espace et qui sert à diminuer les espaces, ce ne sont pas des portes comme on n’a pu voir dans les films de sciences fictions des ordres de capacités de conscience de la pensée , donc en fonction de son éveil on a l’a capacité de voir l’accélération ou la diminution du temps, l’accélération ou non du phénomène de la lumière, et la capacité à regarder le monde à son échelle ou à l’échelle universelle. ce qui donne la possibilité de découvrir ses axes qui sont identiques, donc si on comprend celui de la nature on va visionner le monde de cette façon là, et donc il y a forcément d’autres compréhension, que je ne connais pas car je n’ai pas réussi à voir cela, celle que je comprend est celle de l’origine de la vie, et de cette impulsion ou la mort et la vie sont la même chose, c’est comme une formule d’adn, elles sont interactives, elles ne s’arrêtent jamais, c’est là que je commence à croire qu’il n’y a pas de mort, mais juste un passage, un accélérateur ou non de la pensée.

Dans la nouvelle économie, la question ne sera pas du montant du prix, mais du sens donné à l’achat. Aujourd’hui, personne s’offusque de ne pas pouvoir s’acheter un bijoux en or travaillé par les meilleurs artisans, mais par contre tout le monde trouve que cet art  est nécessaire; Il va falloir changer les consciences des consommateurs et se rendre compte que tout le monde ne pourra pas s’acheter tous les jours de la viande et du produit éco-label mais par contre il est nécessaire que cela existe pour pouvoir se l’offrir ou se l’acheter en conscience, par un acte d’achat équitable qui préserve la planète et qui rend notre santé meilleurs. La consommation de demain devra être à la carte et non plus de masse, l’économie au service de la préservation de la planète. Nous devons donc amener les consommateurs vers un achat engagé et solidaire au bénéfice de tous. Il est temps de créer des “cours ménégers” dans lesquels on va casser tout les erreurs qu’on aura laissé croire aux citoyens sur la quantité nécessaire et suffisante des aliments dès l’instant où ils choisissent des produits raisonnés. Est-ce que l’enjeu n’est pas là, est-ce qu’il est bon d’acheter pas cher pour vendre pas cher et créer un surcout ou marge qui ne sert que les marchés mondiaux ou est-ce que l’idée  c’est de fabriquer au meilleur prix mais qui participe à donner du travail, donc l’économie de demain se joue sur deux axes, l’économie en partage avec des marges de plus en plus folle qui prend en compte l’instinct de l’homme de vainqueur ou gagnant, ou sur des marges équilibrées qui participe à revaloriser l’entreprise et qui permettent de créer de l’emploi, un des aspect de l’économie partagée.