Le bourreau assène des coups, le supplicié réclame la mort comme délivrance. Tous deux sont des pièces du grand puzzle. La partie qu’il joue est sans importance pour celui qui envisage la mondialisation. Pourtant, sans cet échange, sans cette révolte, sans cette évolution, rien n’existerait, car il suffit qu’il manque une pièce pour le projet