Category: Poésie

Pour tous ceux qui ont un peu d’humour entre les oreilles voici la prédiction en année 8 pour les mille ans à venir de “nostra dâme us” =  de notre d’âme et conscience.   La terre et le ciel resteront, La lumière du soleil et des étoiles, resteront, Le jour et la nuit resteront, La

Sur le bord d’une chair, Assis tel un corps beau, Dans la main, un pater, L’autre, un grand sceau.. L’animal, sans pré-science Conduit par la genèse, Dans sa robe de séance, Croit ou croa et soupèse. Niais, égoïste et narcisse Son bon arc, il le tend L’astique sans surprise, Seul vertu qu’il défend. Ses flêches

  Sur le coin d’une épaule, Deux pattes et un plumet, Pinaille, piaille, batifole. Sur Ma tête et les côtés. Je souris, je rigole. Bonjour O toi mon allié. Mon rire trop agricole Surprend cet oiselet. Hé, saut’ la bestiole, Mais reste à mes côtés. Et sans rien demandé, Chauff’ les mots et console, Au

Sur un fil chaque pas compte La canne en “accrobatophile”, Sans honte, je glisse le pied Tel un aveugle jugeant le danger. Je crois au destin, à l’humain. Ecoute chaque nécessaire aventure, Et apprend du destin mon futur !

Sous un borsalino gris bleu, Une liquette en longue chemise, Sur un pantalon de jean’s bleu, Porté par des semelles valises. Que tu décides ce soir de poser, Sur ce plancher porteur de rêves, Dans l’espace d’un fournil apaisé, Ou chacun pétri sa vie en orfèvre.. Ce chiffre est une véritable chance, Que je te

  Sur ses échasses, perchée La belle mère veille, Telle une poule dorée Aime et vous surveille. Tellement magnifique Qu’aucun oiseau n’égale Ce plumet wisigothique Aussi élégant que royal. Chacune de ses ailes, Déployée tel un paon En voleté d’arc en ciel Offre son savoir savant. A deux jeunes oisillons, Quelle convoite et dirige Jalouse

Sur un chemin blanc, sinueux Voyage, en soulier vernis. Le compagnon d’un rêveur Aux pieds nus. Son ami ? Bonjour dit-il, votre espoir Votre foi m’oblige à l’écoute Quels rêves sont à voir Au bout de cette route ? Le marcheur sans radis, Explique ses problèmes, A ce compagnon de vie, Qui comprend le poème.

  T’œuf, T’if, Touffe, T’if, T’œuf, C’est le rap du Coiffeur, De la naissance, un crâne d’œuf, A l’enfance, pleine de T’ifs,   T’œuf, T’if, Touffe, T’if, T’œuf, De l’adolescence, dompte la touffe, A l’âge fleurissant, compte les t’ifs, Le soleil disparaissant, apparaît le crâne !   T’œuf, T’if, Touffe, T’if, T’œuf, Mon coiffeur a du

Avant nous, il y a l’Amour, Avant l’amour, il y a Lui, Dieu est l’origine, il nous a tout donné, L’Amour, la Création et la diversité de la lumière.   L’homme et la Femme n’ont de cesse, Comme un rappel à Dieu, de faire et d’aimer Au nom de cet invisible, Parce que l’Amour qui