Une pensée pour la Syrie libre !
Le bourreau assène des coups, le supplicié réclame la mort comme délivrance. Tous deux sont des pièces du grand puzzle. La partie qu’il joue est sans importance pour celui qui envisage la mondialisation. Pourtant, sans cet échange, sans cette révolte, sans cette évolution, rien n’existerait, car il suffit qu’il manque une pièce pour le projet n’aboutisse pas.
Le bourreau assène des coups, et sa fonction s’arrête là
Le supplicié réclame la mort, et sa pensée nous délivrera.
Vive la Syrie Libre, je pleurs sur toutes ces souffrances que des fous de pouvoirs, aveuglés par leur haine, impose aux peuples. Mais le mot liberté, est un mot qui ne s’efface pas de la mémoire des humains, malgré les coups, malgré la mort, alors que les puissances croient l’avoir enterré, une racine trouve un chemin, puis une pouce germe et l’envie de Démocratie renaït !
Aucune mort n’est inutile, quand le combat est juste !