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Lis, ordonne la première sourate ……..

La lecture soumet chaque conscience à interprétations. On peut parler d’elle comme d’un prisme révélateur de sens, soumise à la lucidité du lecteur. Les croyances vectorisées par des textes fondateurs, sont donc exposées a autant de déformations que de lectures. La foi serait d’être en capacité de révéler le prisme divin révélateur de l’enseignement de Dieu

le bâton du pélerin

J’ai eu la joie d’être reçu par des croyants, nous étions dans une grande discussion sur la prière jusqu’à ce qu’un personnage frappe à leur porte et restant sur le seuil de leur maison leur présente le cadeau qu’il avait confectionné de ses mains : Un bâton de marche ! Dit l’ami en rentrant dans

Emprise

  Dans un espace très secret,  Trotte et trottine une pensée  On la croit en fuite au fond du pré,  C’est de l’enclos qu’elle apparaît….  

Une prière, pourquoi faire ?

Prier pour que la vie soit sauve ou que la pluie s’arrête est-ce différent ? La prière est-elle une discussion avec Dieu, où bien une réflexion que l’on se propose ? J’y vois là une des différences entre les confessions catholique et protestante. Le questionnement par la prière est une mise en danger pour le

Réseau d’Economie Locale

Cet idéal ne peut être porté seul, changer les consciences demande beaucoup de temps. De ce constat est née l’idée de créer une association loi 1901, pour avoir le temps de réussir ce formidable réseau. C’est chose faite, maintenant nous avons le temps de mettre en place une idée simple, pourquoi demander aux autres de

La religion a-t-elle du sens ?

Croire, c’est organiser un doute, c’est admettre son incapacité à ne pas tout savoir, c’est admettre son impuissance, c’est s’offrir le droit à la faiblesse. Avoir la foi, c’est croire qu’il existe une vérité à laquelle on n’a pas accès et qui fait de nous des humbles face à l’universalité. C’est d’ailleurs la différence qu’il

Le pire dans une démocratie, c’est quand le peuple oublie le peuple.

L’ogre continuera à manger des petits enfants tant que ces derniers, désolidarisés par la frayeur, ne mutualiseront pas leur intelligence pour sauver le plus grand nombre de l’horrible. L’unique chance de survit des humains est dans la démocratie. Cette sorte d’entonnoir, qui permet à toutes les idées d’entrer librement dans la grande société humaine, et

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