Préambule – Une Economie en partage
L’homme enferme l’homme pour se sentir libre. Il ne fait que refermer le monde sur lui-même.
Pour l’écrivain, l’écriture a ceci de particulier : elle le porte par-dessus l’abîme qu’il perçoit, qu’il voit ou qu’il conçoit. La seule solution qui s’offre à lui pour le traverser, c’est de lancer des trames de textes entre les chaînes de pensées, fidèles passantes de son subconscient. Puis, tel un brodeur compagnon du tisserand de lettres, il pose tout le long de son ouvrage des mots comme des perles qui étayent, renforcent et illuminent la rigueur du tissage syllabaires qu’il construit. Une fois l’ouvrage fini, il se délivre du message et propose aux reflets du miroir éditorial d’emprunter un passage vers cette littérature. C’est uniquement à ce moment-là, que le contenu frôle l’intérêt d’un autre.
Pour l’amateur de prose, l’espoir est qu’un auteur soit passé à l’acte dangereux de l’écriture. Le doute, pour lui, s’installe avec le livre entre ses mains. Toutes ces histoires offertes sur ces pages blanches auront-elles du sens ? S’il s’arroge le droit à la lecture, il s’autorise celui de la critique. Il est le reflet de l’autre ! Mesure-t-il la puissance de ce pouvoir ?
Il m’aura fallu du temps et de nombreux doutes pour réaliser qu’il fallait écrire le concept de la Box Relais 800. Pourquoi écrire cette histoire ? Parce qu’elle est nécessaire à nous, parce que c’est une idée nouvelle et qu’elle a du sens pour moi.
Il me fallait écrire cette logique pour en poser toutes les perles et faire découvrir son intérêt et les nuances quelle porte par rapport à l’économie sociale et solidaire telle qu’elle m’a été présentée en 2015.
Page : Essai sur une certaine vision de l’économie partagée
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