La Dette ! Osons l’espoir ….
Dans une période d’incertitude, s’acharner à déstabiliser un gouvernement sans proposer d’alternative concrète relève de l’irresponsabilité.
Critiquer est légitime, mais la politique se construit par des propositions, non par des vociférations stériles.
J’attends de nos élus qu’ils fassent preuve d’intelligence et de hauteur de vue.
Oui, il faut s’en occuper comme pour un foyer en surendettement. Il souffre, mais il existe des solutions : un cadre strict, des objectifs clairs, et une issue possible. Pourquoi en serait-il autrement pour un État ?
Notre modèle par répartitions n’est pas à remettre en cause, mais à comprendre.
S’il existe, c’est pour une raison précise : soutenir ceux qui, après des années de contribution à la création de richesses, ou durant des périodes de maladies ne peuvent plus travailler. C’est un juste retour pour leur participation à la prospérité collective.
Ce n’est pas un droit illimité, mais une solidarité essentielle quand on ne peut plus contribuer à la santé de la nation.
En temps de paix, l’espérance de vie s’allonge. Personne ne souhaite une guerre ou une épidémie pour rééquilibrer les comptes. Soyons donc rationnels : plutôt que de rêver de solutions dramatiques, repensons notre système avec lucidité.
Nos élus semblent à court d’idées ? Consultons les Français.
Organisons des sondages en ligne pour recueillir des propositions citoyennes. La démocratie ne se limite pas aux urnes : elle se nourrit aussi de l’intelligence collective.
Faut-il légiférer pour briser le cycle infernal de la dette ? Oui.
Faut-il tracer une voie responsable vers un avenir apaisé après le surendettement ? Oui.
Créons de l’espoir, pas de la division.
Créons de l’espoir !
DF – 2025-08-25